Kuji fit entrer un chien galeux.
« Ne faites pas cela à Habib je vous en supplie ! »
L'impuissance était insupportable et infini.
La bête sauta sur le petit corps incapable du gueu
Sans plus aucun rêve en main.
Ruh observait son être le plus cher,
Après celle qu'il chérissait en vain,
Devenir plus qu'un tas de chaire.
Il est là, figé comme une statue,
À chaque instant, quelque chose se brisait en lui.
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En réalité, tous ses sentiments et émotions se déchiraient en miettes éperdues
De tristesses et d'amertumes.
Le chien croque et arrache l'un des bras du condamné,
Dévoilant ses os et ses veines.
Les cris de Habib mêlant lutte, souffrance et détestation incontrôlée,
Comme un insecte qui se démène face à son prédateur sans peine,
Qui finira décapité et dévoré.
La tête de l'homme cogne de force un côté de la cellule,
Puis l'autre comme un jouet que l'animal commençait à trouver nul.
Ruh se précipite vers le grillage, d'où il recevait des postillons de sang.
« Habib ! Je suis désolé ! Sincèrement désolé ! Pardonne-moi ! Pardonne-moi pour tout ce que j'ai fais ! »
Le condamné fut plaqué contre le grillage, face à celui dont il jadis nouait fraternité.
Un coup de griffe muni de crocs découpa le bas du ventre.
« Maudit... Sois-tu... Laisse-moi mourir... Que je ne me souvienne plus de t.. »
La cervelle de Habib est écrasée entre les dents de la bête.
Ses yeux sortent de son corps et tombent.
Dans cette dernière attaque une griffe perce,
Un des oeil de Ruh seul au monde.
« Nous te laissons 14 jours supplémentaires
Pour mourir de cause naturelle. »
Fit Kuji en retirant le monstre tueur d'homme,
Et laissant l'autre face à un cadavre en somme.
Il s'écroule sur le dos,
Tandis que le chien était sorti.
Le grillage n'était plus qu'une brume d'eau
Planant dans l'un des souvenirs dont le traumatisé se souviendra à vie.
Vie qui à l'image du récit, se termine.