“ Lorsque la fin devient le fatum
D'une vie que trop tortueuse,
Comment faire face à ses ultimes instants ?
Et c'est alors que l'existence est arrachée à nous,
Comme une terrible explosion silencieuse
Et imprévisible qui arrive subitement.
Ô mes brebis égarées...
Qu'est-ce que Archal vous a fait... ”
Alors que les deux frères ne se parlaient plus,
Les gardes étaient partis,
Et un grand homme était venu.
Il avait de beaux cheveux verts courts et lisses,
Et un vêtement luxuriant.
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Ruh avait le regard abattu et larmoyant,
Habib était mort intérieurement.
. . .
“ Je vais me présenter. Je suis le 11e Marquis, Brillance.
Et je ne suis guère fan de ces horribles séances.
Mais Archal est mon supérieur hiérarchique...
En revanche, si vous me le demandez tout de suite,
Je peux essayer de le convaincre de vous achever.
- Oh oui, pitié. Je ne veux plus respirer cet air,
Partagé avec ce pauvre type.
- Habib...
- Qu'aucun mot ne sorte de ta gorge, "frère". ”
Ruh baisse les yeux,
Et fini par les lever pour regarder Brillance.
« Est-ce vrai que c'est Tarshkila qui a ordonné la mort de ma fille fut un temps ?
- Que vas-tu faire de ces aveux ? »
L'enfermé s'avance doucement,
Et s'aggripe à la parure du Marquis clément.
« J'ai besoin de le savoir.
- . . . Oui, c'est notre Maître Tarshkila qui avait donné cet ordre. »
Brillance pose tendrement sa main sur la tête du hors-la-loi.
Il caresse son crâne balafré et lui parle encore.
« Je vais accéder à la requête de ton ancien compagnon. »
Alors, l'unique lumière adverse part,
Laissant les deux bombes d'émotions.
[. . .]
Plus tard,
Le lieutenant Kuji arrive avec un immense grillage,
Fait sûrement de plusieurs alliages,
Le rendant solide et fluide à la fois.
« Vous savez, un petit groupe d'araignées à lancer un ultime assaut avec leur roi.
Ils sont nos ennemis et de l'autre côté de l'océan,
Mais qui sait, peut-être que l'un d'eux va réussir à venir vous sauver rapidement. »
Le grillage est mis entre les deux frères.
« Attendez, dit Ruh, vous n'allez pas vraiment le faire ? ».