Les autres citoyens d'un village non loin
De Marcheroi s'alarment.
Habib avait tapé du poing,
Envers Rafy le gouverneur, concernant le drame
Qui allait s'abattre sur son frère.
Tandis que les médecins le traitaient,
Le prodige de Marcheroi essayaient
De faire en sorte qu'il ne finisse pas en prières.
Mais en vain.
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La nouvelle de l'arrestation de Ruh avait fait le tour
De la région par bien des routes.
Ceux de la plèbe éprouvent telle une faim
qui les ronge,
Une tristesse nationale qui monte jusqu'au tronc*.
. . . . .
« Il a refusé toutes mes propositions, Ruh.
- Laisse Ô frère. Prépare toi à refaire ta vie.
Dans 3 jours je ne serai plus.
Si ce n'est que l'amertume qui te lie
À ton passé, rompt-la avec une lame distordue.
Et recoud ton nouveau futur.
Un futur ou ni moi ni notre fille furent. »
. . . . .
Dans la nuit, un homme capuché
Sort de chez les deux frères.
Vêtu d'une toge noir comme les ténèbres.
Il avance dans un rythme mortuaire.
Mais dites-moi,
Que fait-il à déambuler ainsi ?
Si ce n'est en direction du toit de Rafy ?
Une infiltration par la fenêtre en y faisant basculer son poids.
Il traverse en tout silence,
Couloirs, pièces dans une dance
Dont tout son était absent.
Il atteint le lit du gouverneur dormant.
Une lame s'apposant au dessus de sa gorge.