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Un boulet de canon explose un des murs de l'avant-poste.
Trois soldats périrent à cause de celle-ci.
On voit Artanne se montrer à travers le trou d'un air plus irrité que soft.
« Les gars, ils étaient pour moi ! J'ai faim j'ai encore de l'appétit ! »
Les tireurs voyaient leur chef faire des signes de mains
Entre les corps et eux pour se plaindre.
Ils rigolent en éclat et encourage l'imprévisible de continuer.
Un grand escalier se dresse devant lui.
À l'étage, se trouve le sergent en chef hein ?
Ohoho, ce mec est fini.
Artanne quitte ses pensées et monte serein.
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Son adversaire s'était bien préparé.
Avec une grosse armure et un immense marteau d'acier.
L'indéfini siffle avec un grand sourire.
« Mazette Caliclès c'est toi ?
- Artanne... Regarde comme tu as fini.
- Hmmmm ?
- Condamné à être la victime de ta propre folie,
Orchestré par des rêves de grandeurs impossibles.
Je suis le premier rempart d'Archal.
Et tu ne passeras pas.
- Mais toi ta meuf elle t'avais pas quitté parce que t'étais trop gros ? »
Caliclès fulmine et charge droit sur Artanne.
La violence de son premier coup de marteau fait trembler toute la structure comme un électro-choc.
Mais la colère avait eu raison de sa précision. Il avait raté et était vulnérable.
« Ah mais non ! Elle t'avait laissé pour venir vers moi ! »
Il tente de lui trancher le cou,
Mais le sergent roule sur le sol et se relève en moins de trois.
« Je te connais Artanne. »
Le désigné haletait en souriant et bavant.
« Tu n'as rien d'exceptionnel.
Tu es juste malade.
Oui, tu es de ceux des Amoks comme on les appelle.
Sur le champ de bataille tu parades,
Et évite de combattre avec tes alliés
Pour pas que ta folie meurtrière ne les arrache sans pitié.
Mais cette armure t'épuiseras.
Et ta tête écrasée me réjouira. »
Artanne balance une de ses faux qui se plantent dans la peau de fer.
Il tire sur la chaîne qui relie ses deux armes pour se propulser vers Caliclès.
Celui-ci lève son marteau pour abattre sa cible à l'aise,
Main dans la poche,
Dynamite allumée et proche,
D'exploser et calée,
Dans la fente causée par Croque,
Coup de pied rapide pour se dégager,
Ses lèvres qu'il mord.
Artanne commence à danser
Et ça explose.
Tandis qu'il est à fond dans sa salsa revisitée à sa sauce.
« Tú y yo a la fiesta
Tú y yo-oh-oh, toda la noche yo yo allez !
Tú y yo a la fiesta
Tú y yo-oh-oh, oh-oh-oh-oh-oh
Bailando, bailando
Amigos adiós, adiós, el silencio loco
Caliclès el nullos-os-yo ! »*
Un publique l'aurait acclamé,
Mais c'est son adversaire qui le félicite,
En lui collant un coup de marteau surprise,
Et d'une force démesurée.