La fumée se lève.
Caliclès et Artanne sont dans un récital à sens unique.
Le gouverneur noir sur la défensive physique,
Le sergent l'accable sans laisser quelque trêve.
Lorsque Le Marcheur glisse d'un côté,
Le marteau s'abat de l'autre.
Énorme fracas qu'est celui-ci.
Lorsque le sergent couvre une moitié [de l'arène],
Les faux du fous se font violence de l'autre.
Une ouverture est créé, utilisons celle-ci.
Artanne tournoie sur lui-même avant de planter
Ses lames contre l'armure brisée.
Mais les réflexes de Caliclès le surpasse.
Il ancre son marteau pour bloquer les faux fugaces.
Le piège se referme.
« Tu es fini Artanne ! Je vais rendre ta mine encore plus terne ! »
Stolen story; please report.
Un petit sourire se dessine sur l'Amok,
Oui il se moque.
« Chéri, tu connais le French Kiss ? »
D'un mouvement, il lève le casque de Caliclès.
Pose ses crocs sur la chaire autour de ses lèvres, sur sa peau lisse.
Croque le tout et le retire avec aise.
Son sang pisse.
Regard qui exprime terreur.
Mais il n'est pas encore venu son heure.
Ici, au milieu d'une arène en pierre fermée,
Au beau centre d'une nuit tumultueuse,
Artanne balaye le sergent d'un mouvement furieux,
Caliclès est tombé.
Les bulles de sang se sont envolées.
Les muqueuses sont ouvertes.
Son regard fixe le plafond
Le pied d'Artanne écrase à plusieurs reprise le visage de son ennemi à découvert.
Des filets rouges et liquides s'y collent et marque sa semelle marron.
« S'il se bouge pas il va finir par bouffer ses dents le con ! »
La porte du fond s'ouvre rapidement.
Laetitia et Habib venaient d'arriver.
Le combat était déjà terminé.
«Eh bien... La prise est une réussite ? Dit l'un doucement.»