Quelque part, dans un lieu bien reculé.
Une bataille entre les soldats Tarshkiliens et d'immenses araignées étaient menée.
À la fin de la journée, les guerriers fêtaient victoire.
Les uns se félicitaient, les autres se fendaient la poire,
Au détour de quelques boissons et vannes,
Une discussion prend place.
« Alors, ils ont enfin perdus ?
- Oui, Archal les a pulvérisé sans laisser de trace.
- Le sable a dû recouvrir leurs corps éperdus
Dans une cause qui les échappent.
- Où sont-ils, leurs chefs amochés ?
- Conduis pour les souterrains du Marquisat de Brillance.
- Je les plains, si seulement ils n'avaient pas eu de défaillance... »
Stolen story; please report.
À la fin de la journée, les araignées étaient stressées.
Le froid de la mort saisissait les uns, et la peur embrassait tendrement les autres.
Leur chef prend la parole, crispé et annihilé par un désarroi que nulle parole ne pourrait retranscrire comme il le fallait. Chez
« Il y a plus de 10 ans, Tarshkila a bâti son empire, en soumettant ou tuant toutes les races animales.
Promettant une dépendance mutuelle et naturelle,
Et aucun traitement anormal.
Alors un grand nombre suivit son rêve commun et éternel,
D'un monde où tous sont égaux.
Qu'une poignée préféra se terre et observer.
Et quel bon choix que celui de ces races raisonnées,
Qui furent témoins de ce tragique mensonge entre autre ;
L'assimilation des forces animales par l'Homme.
Mais que dire, lorsque Habib déclara guerre à Tarshkila,
Remportant bataille sur bataille jetant l'opprobre
Sur ses adversaires çà-et-là.
Et nous, qui nous pensions indépendants,
Prirent après mes ordres, parts à l'effusion de sang inexorable.
Je vous comte aujourd'hui notre histoire pitoyable,
Car Habib est enfermé et mourant.
En d'autres termes, des renforts Tarshkiliens vont venir nous surpasser,
Et après cette nouvelle, nos ennemis sont galvanisés.
Tout ceci est ma faute, ô mes enfants.
Que notre rêve de liberté
Se brise en milliards de destinés
Aussi palpitantes qu'extraordinaires.
Car nous voici dans nos derniers instants,
Où nous sommes encore totalement indépendants.
Ô mon peuple, soyez acteurs de votre prochaine ère.
Mourrez au combat ou fuyez,
Partez,
Trouvez une terre où vous abritez,
Et vivez.
Tant que vous le pourrez.
En tant que unique responsable, j'irai à l'échafaud,
Car telle est ma sentence pour nous avoir mis en porte-à-faux.
Adieu. »
Quelque part d'autre. Sous terre.
« T'en fais pas Ruh, je récupère des forces, et on quitte ce lieu !
- Que d'horribles visions que celle-ci qui te serre. »