ciel d'Allemagne

Cela ne faisait pas longtemps que Dari et le reste des diplomates elfes avaient décollé, mais déjà il pouvait voir les différentes allemandes en dessous d'eux. "La vitesse de cette machine est impressionnante." Dire t-il à l'unisson, mais avant de pouvoir plus admirer le paysage l'hélicoptère s'arrête dans les airs. "Sommes-nous déjà à leur capitale ?" Demanda Dari à l'interprète.

"Ils me disent que nous nous posons à l'aéroport de Brême afin de prendre un autre transport plus rapide." Répond-il.

L'hélicoptère sera désormais sa descente permettant aux elfes de voir l'étendue de l'aéroport se présenter devant eux. "Cette piste est tout bonnement gigantesque." Se dire-ils plein d'admiration. "C'est des bombardiers qui sont là-bas ?" S'interrogea un des mages. "Je ne vois aucune arme apparente est ils sont sacrément blanc pour des bombardiers." Répondit un autre mage, mais sans pouvoir se poser plus de questions le bruit de l'hélicoptère s'arrêta et la porte s'ouvrit.

La porte ouverte désormais Dari pouvait voir le gigantisme d'installation devant lui.

"Ce bâtiment est extrêmement long." Se dit-il.

Les elfes étaient sortis de leur émerveillement par les soldats qui les accompagnaient les amenant vers un avion attendant sur le tarmac.

"C'est un avion privé pour le transport de passagers." Traduisit l'interprète.

À l'intérieur, les elfes étaient équipés du confort et du luxe permettant l'avion, une touche comique fut ajoutée lorsque l'hôtesse qui les avait accueillis tenta d'expliquer les consignes de sécurité à bord.

"Donc ces avions s'envolent exactement comme ceux des démons." Se dit Maradal l'un des mages qui observe les avions rares décoller ou atterrir.

Au bout d'une demi-heure d'attente, l'avion commençait à s'élancer sur la piste avant de s'envoler en direction de Berlin.

Il n'a pas fallu plus de 20 minutes avant que les elfes ne mettent observer l'immensité de la ville devant eux. "Cette ville est immense, elle doit bien faire trois fois la nôtre." Se dire-ils en voyant peu à peu le vert viré au gris.

Aéroport Willy-Brandt Berlin

"Il fait extrêmement froid cet hiver." Se plaignait le chancelier grelottant sur le tarmac de l'aéroport.

"C'est normal." Répondit le biologiste à ses côtés. "La partie majeure des pays de ce monde se trouve à un niveau de technologie avant la révolution industrielle de ce fait la production de gaz à effet de serre est minime ce qui nous provoque des températures exceptionnellement basses."

"Cela coule de source." Répondit le chancelier.

"Monsieur le jet se prépare à l'approche de la piste." Interpella un responsable de l'aéroport. "

"Enfin, je n'en pouvais plus de ce froid à réveiller les morts."

plus tard

Par le hublot de l'avion Dari et le reste de son équipe observer les gigantesques structures de l'aéroport qui défilent à mesure que l'avion remonte la piste.

"Toujours aucune magie ?" Demanda-t-il en se retournant en direction du mage de l'équipe.

Le mage ferme sa mallette avant de répondre. "Je ne détecte toujours rien, même le Madon n'a pas émis le moindre bruit."

Dari soupira sous cette déclaration. "Vermond disais donc vrai sur ce que les Allemands lui ont dis au sujet de la magie."

La conversation prit fin lorsque la porte fut ouverte et qu'un vent glacial s'engouffra à l'intérieur. "Avec ce système de chauffe on en vient à oublier que c'est la saison froide." Déclara un autre diplomate.

Avant de sortir de l'avion, l'hôtesse a indiqué aux elfes une boîte avec un tissu bleu tout en leur montrant comment l'installer. "Cela doit être une coutume de chez eux." Se dire t-il avant de placer difficilement le masque sur leur visage, en sortant la délégation pu observer un petit comité les accueillants avant qu'un homme grelotant ne s'avance et ne tende vers sa main.

"Je vous souhaite la bienvenue à Berlin, je suis le chancelier Gabriel Lehr chef du gouvernement allemand et c'est un honneur pour moi de rencontrer des envoyer d'un pays de ce nouveau monde." Traduisit l'interprète. "C'est un honneur pour nous aussi." Répondit Dari tout en serrant la main au chancelier.

La délégation fut guider vers des véhicules qui les attendaient sur le tarmac avant de pouvoir partir en direction de la chancellerie fédérale.

"Je me demande pour quelle raison gigantesque cette route se trouve si vide ?" Demanda un des diplomates dans la voiture. "C'est très simple, avec le transfert de notre pays, nous avons perdu l'approvisionnement en combustible pour nos véhicules et infrastructures, et devons pour le moment nous contenter de notre production locale, de ce fait pour éviter un épuisement de stock trop rapide nous avons limité les transports au strict minimum, même si normalement ces routes sont assez remplies cela dit." Répondit le chancelier.

Les elfes ne cessaient d'être étonnés à la vue de certains des plus grands bâtiments se trouvant sur leur route cet étonnement atteigna un sommet lorsqu'il passèrent près du plus grand de la zone.

"Ce bâtiment est impressionnant il dépasse de loin la plus grande de nos tours." S'exclama un mage.

"Cette tour est-elle le plus grand des savoir-faire de votre pays ?" Demanda l'interprète d'un air ébahi.

"Non de ce que je sais les tours de notre pays monte rarement au-dessus de 170 mètres la plus haute d'entre elles arrivent dans les environs de 370 mètres, bien que dans notre ancien monde la plus haute d'entre elles arrivent environ à 830 mètres."

Ne comprenant pas ce que crée le mètre l'air un peu confus l'interprète se tut.

Voyant le regard de l'interprète un des historiens qui accompagne le groupe brisa son silence. "On nous a informé que votre pays se trouve dans une période industrielle, mais à voir les expressions de vos collègues vous ne semblez pas avoir de grands bâtiments dans votre pays."

"C'est exact nous vivons en harmonie avec la nature et nous construisons la majeure partie de nos mêmes bâtiments soutenus par les arbres, mais avec cela nous arrivons difficilement plus haut que ceux-ci alors en voir des si haute sans l'aide d 'un arbre est impressionnant."

Votre pays semble fort intéressant." Répondit l'historien.

Le groupe arriva finalement à la chancellerie fédérale où ils furent amenés dans une grande salle où attendait déjà différentes personnes afin de pouvoir commencer les pourparlers.

"La séance va pouvoir commencer." Énonça le chancelier.

30 décembre 2021

30eme passage 3 Adarr 1649

Helgoland 20h

Cela faisait maintenant plusieurs heures que le soleil s'était couché sur l'archipel d'Heligoland, les îles baigner dans l'obscurité totale après la destruction des câbles d'alimentation en provenance du continent, au loin pouvait être vue les lumières de quelques cargo déchargeant du matériel militaire.

L'aérodrome de l'île avait bien changé, s'étend rapidement transformé en un complexe militaire en l'attente d'être armée.

La ville était très calme, les habitants étaient dans leur maison pendant que les soldats faisaient leurs rondes.

Tandis que non loin dans l'obscurité l'on pouvait tout juste distinguer la forme des cuirassés au mouillage.

Sur la flotte les marins se reposent dans leur couchette bercé par le tangage des navires, tandis que dans le cuirassé Addos les officiers préparent le gros de l'invasion sur les terres allemandes.

Sur la flotte les marins se reposent dans leur couchette bercé par le tangage des navires, tandis que dans le cuirassé Addos les officiers préparent le gros de l'invasion sur les terres allemandes [https://img.wattpad.com/e77c8029ed01827082ba0b10f17867379c69bd6e/68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f484e7a6272797a776a4d5a4c32773d3d2d313230393332353432312e313665663439373934346334303563303738393632333838373939352e706e67?s=fit&w=1280&h=1280]

"Nous avons toujours pas d'avion qui a réussi à survoler leur territoire ?" Demandez l'amiral assis à sa table.

"Malheureusement non monsieur, l'ennemi de l'aviation semble être redoutable." S'exclama l'un des officiers.

Leur conversation prit brusquement fin lorsque le bruit d'une forte explosion secoua toute la flotte, réveillant au passage tous les marins sortant à la hâte de leurs couchettes.

"Que se passe-t-il ?"

"J'ai entendu une détonation." Se dire deux marins en sortant dans le corridor.

"Monsieur le Terrore est touché et sombre très rapidement." Interpella l'opérateur des communications. Aussitôt une autre explosion se fit entendre non loin de leur position.

"Nous sommes attaqués !"

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"Faîte parvenir, tous les marins à leur poste qui se prépare au combat, préparer l'envoie d'escadron de chasseur nocturne." Énonça l'amiral, supplié les officiers derrière lui.

Sur le pont du navire amiral l'amiral Ethiuc observer avec effroi le porte-avion Mefar recouvert par les flammes avant que son attention ne se porte sur l'explosion progressive de 5 destroyer. "Où sont les unités ennemies !" S'écrit at-il.

"Monsieur nous ne détectons aucune présence autour de nous." Répondit un marin avant qu'une autre explosion lointaine se fit entendre. "Les salauds ils utilisent des navires fantômes." Marmonna t'il.

"Faites envoyer des destroyers capables d'envoyer ce navire fantôme par le fond, le reste de la flotte se met en mouvement."

Quelque part en allemagne

Par la fenêtre de son appartement Manuel Rosenbaum observe la ville imbiber dans une immense obscurité seulement éclairée par le faible éclairage de la voûte céleste et quelques lumières d'immeubles.

Pendant sa contemplation Manuel ne cesse de se torturer l'esprit.

Finalement Manuel laissa échapper un soupir en repensant à sa famille bloquée sur l'île dont il n'avait plus de nouvelles depuis l'invasion.

Intérieurement Manuel comme une bonne partie de la population en voulait au gouvernement de n'avoir pas pris suffisamment de mesures pour éviter cette invasion de se produire.

Tandis que Manuel était plongée dans ses pensées l'attention des journalistes fut dirigée sur un immense navire de guerre illuminé par une explosion.

Flotte d'invasion Volciste

"Nous sommes touchés !!" S'écria le timonier secoué par l'impact.

"Je veux savoir quoi sont l'étendue des dommages." Demandez le capitaine.

Il ne devait pas longtemps avant que le poste de commandement un incendie ne soit visible sur la tourelle 2 et ses alentours.

L'incendie fut vite maîtrisé et les dégâts pouvaient être clairement visibles.

"Ces bâtards ils ont un navire dans les environs." Se dit l'amiral Ethiuc.

"Comment se fait-il que nous ne l'ayons pas détecté ?" Exigez-t-il.

"Nous l'ignorons monsieur sa signature et peut-être confondu avec l'île." Bégaya le marin devant lui.

L'attention de l'Amiral a été détournée par le bruit singulier de plusieurs moteurs d'avions au dessus d'eux. "Voilà enfin le support aérien."

"Dites-leur de rechercher du potentiel bateau dans les environs." Continuez jusqu'à.

Mais très rapidement au niveau de l'horizon l'amiral vit une drôle d'étoile mystérieusement apparue de nulle part. "Qu'est-ce que c'est que cela ?"

Mais avant de n'avoir une réponse l'étoile passe à une vitesse ahurissante devant leur cuirassé avant d'exploser emportant le malheureux avion se trouvant sur son chemin.

Aussi expliquait qu'était apparu le premier objet une multitude d'autres arrivèrent percutant d'autres avions dans l'impuissance totale des défense antiaérienne.

"Cette arme est inconcevable" se dit l'amiral en voyant l'objet changer de cap en plein vol. "Autant de nos avions abattus en si peu de temps."

Finalement le bruit des explosions devenait habituel aux oreilles de tous bien que les cris d'agonie de milliers de leurs confrères pouvaient se faire entendre tout autour d'eux accordaient une mélodie macabre est intolérable.

Depuis déjà une heure que durée l'attaque la force navale ne se compte désormais plus que par trois destroyer tout juste flottant ainsi que cinq croiseurs et toujours les quatre cuirassés qui ont été relativement épargnés alors qu'au contraire les porte-avions ont été les premiers à être parti.

L'amiral Ethiuc avait aussi changé durant l'heure qui c'était écouler la bataille qui se déroulait face à lui peser lourd sur son mental.

Tandis qu'une autre explosion frappe le cuirassé, l'amiral sentit sous cette explosion le navire perdre rapidement en vitesse.

"Que se passe-t-il ?" Demanda-t-il en sortant de sa cabine.

"L'ennemi nous a endommagé les hélices, nous perdons donc en vitesse."

___

Sur l'île de Düne les soldats ne pouvaient que rien faire face à la situation se déroulant au large il ne possédait toujours pas d'arme permettant la protection de l'île et les avions de nuit qu'ils possédaient se sont fait abattre par ces projectiles.

Ukkilde Skullwreck scrutait au loin la possible zone où se trouver les bateaux ennemis, sans pour autant voir quelque chose mais enfin après tout ce temps bravant l'obscurité ambiante une lumière apparut à l'horizon les mêmes que celles qui avaient abattu leurs avions.

"Je vois une de ces lumières !" S'écria t'il en filant dans le bâtiment contenant le commandement, mais avant d'avoir le temps de finir de traverser l'aérodrome une explosion retenu à l'autre bout de la piste avant que d'autres ne suivent l'important comme tous ses collègues dans la mort.

___

"Monsieur nous ne recevons plus aucune communication en direction de la base." S'écria l'opérateur des communications avant qu'un appel en direction de la vigie ne les coupes.

"Nous avons repéré la zone des tirs des obus guider." S'écria le démon.

Peu après la nouvelle toutes les tourelles encore en état de servir ajustèrent leur position en direction de la cible, avant que toute la flotte ne tire les uns après les autres.

Les secondes passèrent mais rien aucune trace d'explosion ne pouvait être vu au point d'impact.

"Nous saurions nous tromper ?" Demanda un marin complètement démoralisé.

Mais venant du même endroit et d'une distance si lointaine une nouvelle salve d'obus guider apparue progressivement.

"À COUVERT !!" Hurla un officier avant qu'une suite d'explosion toutes plus ou moins violente ne s'applique faisant taire au passage les défenses antiaériennes.

~Multiple incendie à bord, perforation au niveau de la ligne de flottaison.~ Ne cessez désormais d'être émis de la console de communication.

~le Triomphe vient d'exploser, et sombre rapidement.~ Les mauvaises nouvelles ne cessent de s'accumuler dans le magiecom avant que tout ne soit recouvert d'un blanc absolu.

[https://www.cjoint.com/doc/22_07/LGtpwoD2UHg_carte-bataille-heligoland.png]

___

Dans l'obscurité de la nuit l'embarcation de débarquement Schei accompagné de LCT (landing craft tank) de manufacture civile se rapprocher de l'archipel Helgoland à bord des centaines de soldats accompagnés de véhicules blindés se préparer à aborder les plages des deux îles au vu de déloger les troupes Volciste toujours en vie.

Au loin les flammes des avions restant devenait de plus en plus visible avant que l'embarcation ne s'arrête au toucher de la plage laissé les soldats sortir.

Rapidement les véhicules blindés prirent la marche se dirigeant vers les retranchements ennemis.

___

"Ils sont arrivés !!" Déclara le soldat scrutant l'horizon avec ses jumelles.

"Préparez vos sorts ils ont des blindés." S'écria un autre soldat.

Cette simple information fit trembler une bonne partie de tout ce qui se trouve dans la tranchée, chacun a regardé les véhicules se rapprocher progressivement d'eux, jusqu'à ce que l'un des véhicules soit arrêté lorsqu'une série de pique lancer par un des soldats sortie du sol se simple sors remotiva les troupes qui l'enserre chacun des sorts sur l'ennemi. *Pan*

Ce sont famille étonna les soldats volciste. "Ils ont des armes à feu !!" S'exclama le commandant avant que d'autres tires ne se produise cette fois venant des blindé.

"C'est lâches utilise des armes à feu à une si courte distance." Aboya l'un des soldats, bien que très vite les démons répliquèrent en propulsant des pointes de glace à haute vitesse ainsi que le reste de leur grenade.

Les combats faisaient rage sur l'île de Düne pendant que le reste des troupes sur l'île principale perdez elle aussi du terrain, tentant tant bien que mal d'éliminer les soldats allemands dont il ne percevez à peine dans l'obscurité.

"Comment arrive t'il à nous voir dans cette obscurité ce ne sont pourtant que de simples humains." Se demander les soldats se faisant abattre à chaque ruelle.

Depuis que les échanges de tir ont débuté dans la ville les démons ont commencé à avoir affaire à de nouveaux ennemis par-ci par-là, les habitants avaient récupéré à l'abri des regards des armes en provenance du commissariat local, rendant chaque ruelle plus dangereuse que la précédente.

Sur l'île Düne à la suite de la destruction totale de la base aérienne et de la quasi totalité de la chaîne de commandement les soldats qui on eu la chance de survivre mener une résistance désorganisé est inefficace face à l'avancée allemande.

~Ici les forces armées allemandes, nous vous encerclons cesser le combat et rendez-vous.~

Sous cette annonce les troupes survivante était dans l'incompréhension totale. "Qu'est-ce qu'ils ont dit ? Je ne comprends pas leur langue. Ne parlent-ils pas la langue continental. Qui parle le Farosser ici ?"

Chaque soldat ne savait pas quoi faire dans cette situation les forces navales n'était plus, les forces aériennes avaient été réduits au silence est il ne restait plus qu'une poignée de leurs camarades.

"Et si il nous disait de nous rendre." Proposa un jeune soldat dans la vingtaine.

"Pauvre fou cela n'a aucun sens." Dirent-ils d'un ton agressif. "Vous avez sans doute raison." Répondit le jeune soldat complètement démoralisé avant de sauter hors de la tranchée les mains en l'air, personne n'a essayé de l'arrêter préférant le laisser se faire abattre, mais cela est jamais arrivé.

Chacun voyez le jeune soldat récupéré par les ennemis mais toujours vivant ce qui à rapidement motiver chaque soldat à sortir de leur trancher en levant les mains en l'air.

___

~ici l'île de Düne les derniers ennemis se sont rendus fin des combats de notre côté~ annoncèrent les soldats à la radio.

Seuls les échos lointains des tirs saccadée se faisait entendre en provenance de l'autre île avant de finalement s'arrêter à leur tour.

___

La douleur c'est tout ce que l'amiral Ethiuc sentis en se réveillant la pièce était silencieuse pas un bruit des différents appareils ne se faisait entendre mais un bruit vague et lointain se faisait tout de même entendre le forçant à ouvrir les yeux.

"Amiral amiral par les dieux vous avez survécu." Lui dit une personne complètement défiguré.

En regardant autour de lui l'amiral remarqua qu'il était plus dans le poste de commandement mais dans une pièce avec le toit éventré.

"Quelle est la situation ?" Demanda t'il.

Le marin devant lui regarder aux alentours avant de répondre. "Elle est critique monsieur nous avons perdu le Triomphe et le reste des cuirassés sont trop endommagé pour continuer le combat."

"Qu'en est-il de celui-ci ?" Questionna t-il encore.

"On est sûrement l'un des plus touché la superstructure où vous étiez a été soufflée les tourelles sont inutilisables et nous n'avons plus de moteur."

L'amiral tenta de bouger pour voir par lui-même, avant que un bruit ne retienne son attention, rien ne pouvait être vue dans l'obscurité mais très vite les quelques projecteurs survivant se mirent à éclairer les environs.

Il s'agissait d'un petit appareil survolant les reste inerte du cuirassé.

"Cet appareil est à voilure tournante." S'abandonna l'amiral.

L'appareil s'éloigna aussi vite qu'il était venu laissant les cuirassés dans le silence de la nuit, dut moins c'est ce que voulait les marins alors que un nouvel appareil arrivé cette fois si bien plus gros.

~Ici la marine allemande votre flotte n'est plus en état de combattre rendez-vous et il ne vous sera fait aucun mal.~

Le message suivant fut traduit par les rares locuteurs farosser celui-ci agitant vite les marins survivants. "Nous rendre et puis quoi encore plutôt mourir." Se disait conjointement certains marins. "Ça suffit. Réfléchissez vous allez vous battre avec quoi même les défenses antiaériennes n'ont mis tirer pour abattre cet appareil, et vous pensez que nos navires ont encore le moyen de se défendre." Beugla l'amiral.

Dans le silence des autres marins il continue. "Maintenant prenez une embarcation et faite relayer au navire survivants que nous nous rendons."