Akira vivait une existence terne et solitaire à Tokyo. Dans son appartement exigu, situé dans un quartier o les nouveaux clignotants semblant résonner avec les battements de son c ⁇ ur fatigue, il passait ses jours à travailler dans un bureau sans emploi. Son travail l’nuyait profondment, et il n’ eucun got ⁇ t pour l’s. Il n’fait ni famille ni amis proches. La solitude le consommé lentement, et la routine infinie de ses journaux le maintenait dans un état de léthargie existentielle.
Tous les matins, il se levait à l’aube, se glissait dans la foule d’un métro bondé, et passait ses heures à accomplir des tâches qui semblaient avoir été dessinées dans un univers parallèle. Le soir, il rentrait chez lui, épuisé par une journée dépourvue de sens. Ses repas étaient toujours les mêmes : des nouilles instantanées, simples, rapides, sans saveur. Il ne savait pas cuisiner, ni même pourquoi il en aurait eu besoin. La cuisine était un luxe qu’il ne s’était jamais autorisé, tout comme la vie qu’il aurait voulu mener.
Ce soir-là, comme tant d’autres, Akira rentra chez lui après une journée longue et sans relief. Il ne se sentait ni fatigué ni particulièrement malade, juste vidé. Dans sa cuisine, il prépara son plat habituel de nouilles instantanées. Alors qu'il versait l’eau chaude, il observa la vapeur qui s’échappait du bol, hypnotisé par la lente danse des volutes. C’était presque une forme de réconfort dans cette routine, un semblant de tranquillité au milieu du chaos quotidien.
Il mangea mécaniquement, les pensées vagues et dispersées. Mais soudain, un malaise étrange s’empara de lui. Une douleur fine et insistante se déploya dans son ventre, puis se transforma rapidement en une crampe insupportable. Les secondes passèrent, puis les minutes, mais la douleur ne cessa de croître. Il s’effondra sur le sol, la tête contre le carrelage froid, se tordant sous l’effet des crampes. Des nausées violentes le submergèrent, et l’obscurité se fit de plus en plus présente.
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Dans un dernier souffle, il sentit son corps se relâcher. Le froid l’envahit, et avant de sombrer, il réalisa que tout était fini. La fin était là, inévitable, brutale.
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**Un nouveau commencement**
Akira ouvrit lentement les yeux. Ce ne fut pas dans sa cuisine, mais dans un endroit qu’il n’avait jamais vu. La pièce était vaste, décorée simplement mais avec une certaine élégance. Le lit dans lequel il se trouvait était spacieux et confortable, loin de son modeste futon. Ses yeux parcoururent la pièce, cherchant à comprendre ce qui s’était passé.
Ses mains, qu’il leva lentement, n’étaient plus les siennes. Elles étaient plus jeunes, plus soignées. Il les toucha, puis son visage : aucun signe de fatigue, pas de barbe, pas de cernes. Il était plus jeune, plus frais, presque… nouveau. Une vague de confusion l’envahit, et il se sentit soudainement étranger dans son propre corps.
*Où suis-je ?* pensa-t-il, complètement désorienté.
Il se laisse faire, ses jambes vacillant sous lui. Il chercha gouvernement des droits dans l’ environnement qui l’. Puis, son regard se posa sur un objet étranger posé sur une table près du lit. Un artefact magnifique, d’une forme élégante et lumineuse. Il ne savait pas ce que c’ait, mais il le sentit. C’ait important. Il pouvait presque entre un echo dans son esprit, comme une voix longeaine qui lui murmurait quelque a choisi.
Alors qu’il se tenait là, pris de vertu, une pensée lui traversa l’sprit.
*Est-ce que je suis... mort ? Et si c’est le cas, o suis-je ?