Enfin j'ai le courage d'écrire, faut dire que les auteurs donnent envie.
~matin - hiver - quelque part en France~
-POV Madie-
Durant un jour tout à fait normale, dans la classe 1113, trois personnes habillées en militaire (sauf un) venant de la CIRFA, sont venu nous présenter un diaporama en début de cours de français 'génial je suis nul en français de toute façon'.
Avant cela, la professeur nous fit signe de nous asseoir, et elle commença à faire l'appelle. Je regardais pendant ce temps là, Perey, le garçon le plus beau de la classe, ce jour là, il dessinait un oiseau, comment je le sais? Car il était en diagonale par rapport à ma place, me donnant une vue direct de son carnet et surtout, de son beau visage en profil. Il a toujours été le meilleur dans toutes les matières, en sport il était celui dont tu voulais faire équipe et pas celle adverse, et mettait ses beau muscles en pratique. Je voulais lui parler, lui dire que je l'aime, et comme je savais que j'étais la plus belle du lycée, il faut dire que les garçons n'avaient de yeux que pour moi... Jusqu'à ce que j'écrase leurs espoirs. Mais j'ai peur du rejet, même si il n'a pas de rai...
Professeur "Maddie!"
"Oui?!"
Professeur"fait attention à l'appel ! Et arrête de ragerder ton camarade!"
"Oui..."
Je rougit violemment, alors que toute la classe se tournèrent vers moi, des regards de curiosité pour savoir de qui j'étais intéressé ou si s'était eux, mais ne le seront pas car au moment où le professeur a crié je me suis tourné vers celui-ci.
Une fois l'appel terminé, le professeur laissa la place à la présentation des personnes de la CIRFA.
Ils se présentent en tant que soldats et réservistes, se présentant que brièvement, attendant des questions sur la vie militaire de notre part, faut dire qu'ils ont dû être déçu.
Le diaporama nous expliquera jusqu'à la fin de l'heure, il était censé nous expliquer les métiers de l'armée de terre, les diplômes,... En tout cas c'était censé...
Pendant que Flaura nous expliquait les métiers, les fenêtres de la classe fut illuminé par une lumière blanche éblouissante, faisant tourner la tête de tout ceux présent dans la classe. Et d'un coup l'extérieur passe en mode nuit, seul les lumières de la classe nous fournis de la lumière(ils étaient allumées car dehors il faisait trop sombre à cause des nuages).
Tout le monde était paniqué, se demandant, qu'est-ce qui ce passe? Est-ce la fin du monde? ...
Mais la seul réponse qu'il reçurent fût... Le noir total.
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Je me réveille dans le noir complet, je ne sens plus rien et n'entend plus rien. Et j'attend... 1h... 1 jour... 1 mois... Je m'ennuie à en mourir, je vais perdre la tête !
Pendant au moins 3 mois, je repensais à ce qui c'était passé.
'C'est ça le paradis? Le vide où on a encore conscience? Et bah c'est nul!'
Puis un jour je ressentis quelque chose, 'je... je sens mes mains! J'ai repris mes sens du toucher! Au que ça m'avait manquée! Et je sens une... parois?'.
Au moment où je voulus tendre mes bras pour voir où j'étais, je touche une parois, étonnée, je la suivi, et me rendis compte qu'elle m'enfermais, 'c'est quoi ce truc, je fais partie d'une sorte d'expérimentation?!'.
J'essaie de la poussée, essayant de me libérer, mais je me fatigue trop vite, et tomba dans une sorte de sommeil profond.
Je me réveille en me disant que aujourd'hui, je sort de ce truc, j'ai remarqué en poussant la dernière fois que la parois est en faite un peu molle, et senti qu'elle était fine, donc il est possible de la briser!
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Je retente, et poussa de toutes mes forces en m'appuyant avec mes pieds sur la parois opposé, de la lumière apparaît, 'Oui! De la lumière, je vois!', et en voyant la lumière, je redouble d'effort, la fissure s'élargit au point que d'un coup je me retrouve de l'autre côté, et tomba tête la première au sol, le choc me sonnant avec l'éblouissement de la différence de luminosité et du fait de passer plusieurs mois sans rien ressentir et voir. A ma sortie, un grognement m'accueilli, j'essaie de me tourner vers la source, m'attendant au pire, un loup ou autre animal sauvage, mais le choc de ma chute et la lumière ma désorientée et je glissa sur mes fesses en assayant de me lever, et je la sentie, 'Une queue ?!'.
Une fois après avoir repris mes esprits de mon choc et mes yeux habitués à la lumière, je me tourna vers la source du grognement pour y trouver... rien ? Un mur noir fut tout ce que je vis, le seul car le reste sont des murs gris. 'Où suis-je ?', puis je me rappelle de la queue... ma queue... et en m'inspectant, je remarque que je ne suis plus humaine, 'c'est quoi ça ! Des griffes, pas de peau mais des écailles! Un museau !' Je resta bouche béependant plusieurs minute jusqu'à ce que je remarque le bruit de respiration plutôt bruyante.
Je me tourna de nouveau vers le mur noir, cette fois-ci je remarque des détails que je n'avais pas fait attention jusque là, des griffes gigantesques, des reliefs écailleux, une tête pouvant me gober d'un coup, des cornes majestueuses, une queue très longue, une couleur similaire à la mienne, et... Des ailes!
'Un dragon!', je resta pétrifiée de peur, ses yeux oranges me perçant comme s'il lisait en moi comme dans un livre.
En reculant pour m'éloigner de ce monstre, je trébuche sur quelque chose, me donnant une douleur vive vers un endroit que je n'avais pas remarqué, 'j'ai des ailes?!', je ne pris pas longtemps à faire le rapprochement, 'je suis une dragonne?! Je pensais que la réincarnation ne serait qu'une chose pour nous donner espoir que la fin n'est pas une vraie fin.'.
Je regardais le dragon, puis me dit que je suis peut-être son petit et que le dragon était peut-être en faite une dragonne, 'c'est ma mère ?'.
La dragonne se leva et gloussa, 'peut-être qu'elle rigole car je suis tombé sur mon derrière?', et elle commença à parler, mais des mots que je ne comprenais pas, ça ressemble à du latin? grec?
'Je me demande à qui elle parle? À moi?'
En regardant autour, je me rendis compte qu'on n'était pas tout seul, sur mère, il y avait au moins 4 dragonnets en train de me regarder et la tête d'un grand dragon qui est derrière elle, 'frères, sœurs et père ?'.
Un grondement retenti.
Je regarde mon ventre, puis ma coquille, 'je mange ma coquille comme dans ces animé, où sont les coquilles de mes frères et sœurs de toute façon', regardant mes parents puis ma coquille, je me dirige vers elle et commence à la manger.
Un goût exquis, on aurait dit que je mange de la pâte à choux peu sucré, mais un peu plus compacte. Je la dévore tout entier sans m'en rendre compte.
Je regarde de nouveau mes parents et je remarque que ma mère s'est éloigné de moi avec mes frères, seul mon père est resté, il me regarde avec fierté, et je me demande pourquoi, puis il se dirigea vers moi pour me prendre et me soulever dans les airs, et gloussa face à mes cris de protestation, 'laisse moi tranquille, hé! Pas touche à mon nouveau corps, et n'appuie pas avec ta force colossale!'.
Et il me posa sur son dos, comprenant ce qu'il essai de faire, j'arrêta mes cris et me prépara à descendre de sa patte.
Dès que je me suis accroché à son dos, 'on ne sait jamais si il ne va pas décoller', il fit exactement ce que je pensais, il prend son envol. Quand il se détacha du sol je senti un cri de peur au fond de ma gorge, 'je n'ai pas encore appris à volé!', mère vola loin derrière nous.